Départ retardé
Ceci est un test. Un deux, un deux, hum, broum...
Clouée par une vilaine crève chez moi et desoeuvrée que je suis, moi, la jeune étudiante rentière en partance pour la nouvelle-zélande, j'ai décidé avec Mémé (béni soit-il) de créer un blog où nous pourrons tous trois (y'a Papy aussi) vous conter nos aventures trépidantes, nos extraordinaires rencontres et nos profondes réflexions, à vous, familles et amis qui n'avez pas l'heur et le bonheur de nous suivre dans nos tribulations néo-zélandaises.
Il est entendu que pour le moment Mémé et Papy restent en France, sur le plancher des vaches, pour trimer encore et amasser pièces sonnantes et trébuchantes afin de payer le droit de passage à le Sphynge gardienne de la porte ( c.à.d le douannier néo-zélandais) qui exige un don pécunnier, un sacrifice monnétaire pour autoriser le voyageur à poser le pied en son sanctuaire.
Pour ma part je file dès Mardi, le 13/11, jour de bon augure s'il en est (j'ai consulté les entrailles, le présage est bon). Et je prie les Dieux que mes compagnons se magnent le train pour gagner leur pitance, afin que j'aie une chance, aussi infime soit-elle, de les croiser pour de vrai au pays du Long Nuage Blanc, afin que tout de même, nous nous fassions péter un tonneau de vin australien sur la plage, à Auckland.
Votre serviteur,
Mariouska